Commentaire "Droit de visite"

AFFAIRE CHAMBERT / DEMPSEY le 20mai 2010 Analyse : de Mme TOURDIAS , enquêtrice sociale, elle indique , De La grand-mère Madame CHAMBERT, Est une femme d'une soixante d'années, elle aux cheveux châtains clairs coiffés en queue de cheval. Vêtue d'un jean. d'un pull. Elle paraît effacée, renfermée. En réponse de Mr CHAMBERT, C’est une femme qui sait se tenir , par respect elle ne coupe pas la parole à son mari, c’est une mère avant tout, qui a toujours su faire face aux besoins de ses enfants, leurs situations professionnelles actuelle en témoigne. Mme TOURDIAS dit : Elle explique son parcours de fille- mère qui l'a faite souffrir. En réponse de Mr CHAMBERT, Mon épouse a expliqué son parcours, non d’une fille-mère relatif à « une fille de joie »qui ne sait qui est le père ! mais a décrit les circonstances dans lesquelles elle a connue Mr Chambert avec lequel elle a eu un enfant, reconnue par anticipation par ce dernier, de fait elle était au regard de son age et du refus de ses parents de la laisser se marier, mère célibataire, ce qui est de loin plus honorable et a conclu par leur mariage en présence de Coralie leur fille, elle n’a donc pas pu souffrir d’une absence de père inconnu. Mme TOURDIAS dit : Elle laisse !a parole à son mari pour expliquer les procédures judiciaires. Elle souffre de la maladie de LYME qui est invalidante. Elle insiste sur les manifestations de sa maladie : fatigue blocage de son corps suite à des situation de stress En réponse de Mr CHAMBERT, C’est bien en ce sens que Mr Chambert son mari , s’occupe de ses procédures, des attaques injustifiées menées à son encontre pour éviter tous stress, qui lui seraient néfaste, qu’en déplaise aux initiateurs malvenus. Mme TOURDIAS dit : Elle décrit Coralie dépensière La grand-mère insiste sur la situation conflictuelle qui a rompu la relation privilégiée qu'elle dit avoir entretenue avec sa fille qui a longtemps vécue avec ses parents et son frère. Elle a des difficultés à accepter le changement brutal de sa fille à l’encontre de son couple. Elle considère que ses petites sont trop gâtées par leurs parents. Lorsqu elle évoque son beau-fils, elle est critique à son égard. En réponse de Mr CHAMBERT, Il ne faut pas enlever à César, ce qui est à César, Coralie est dépensière, l’enquête le démontre, quelle est la mère qui accepterait un tel changement de sa fille ? « Mme Tourdias étant d’age commun de mon épouse devrait s’imaginer à sa place, son analyse aurai été probablement différente ! » quant aux petites , au regard du rapport elles ne manquent de rien ! pour ce qui est du gendre, à sa place je n’aurais pas permis à mon épouse de faire un procès à ses parents, malgré que ces derniers l’aient placé dans une institution religieuse pour mères célibataires, je ne leur en ai jamais fait un quelconque reproche et les ai toujours respectés, mon épouse de même. Mme TOURDIAS dit : Elle soupçonne le couple parental d'avoir » bourré le mou à ses petites filles », elle espère qu'à leur majorité elles viendront pour connaître la vérité. En réponse de Mr CHAMBERT, Je suis entièrement d’accord avec mon épouse, cela ressort clairement de l’enquête, comme l’indique ma fille, les études de Margot risquent d’être compromises, sous entendant les sorties, les copines, les loisirs et argent de poche, tel portable, quant à la vérité à leur majorité, elle n’ont pour l’instant que des soupçons et des regrets pensant que leur grand-mère maternelle ait tourner la tête à Margot et pour Audrey qui s’imaginait qu’elle aurait pu aller lui parler, Pour Margot il faut qu’elle sache que sa grand-mère l’a pris en photo 2 fois, et qu’elle attendait qu’elle vienne l’embrasser, pour Audrey, il est grand temps qu’elle sache elle aussi, qu’il nous était fait interdiction de leur adresser la parole lors du mariage, telle était la condition de leur présence et de l’invitation qu’elle a pu profiter avec sa mère et sa sœur due à l’insistance de papi Gilles de ne pas vouloir priver la famille Dempsey de leur venue aux festivités et cérémonie , ce qui a été respecté. Mme TOURDIAS dit : Elle demande que ses petites sachent que le couple des grands-parents est là et ne les rejette pas. Elle souhaite que les choses soient mises à plat. En réponse de Mr CHAMBERT, C’est la moindre des choses, qu’elles le sachent, que l’on est bien là, et ne les avons jamais rejetées, c’est en ce sens que mon épouse parle de mise à plat , sous-entendant que l’on les informe de la vérité, dont tôt ou tard elles auront connaissance, autant le faire à présent. Mme TOURDIAS dit : Le grand-père Monsieur CHAMBERT Est un homme d'une soixantaine d'années, il porte des lunettes, vêtu d'un jean. d'une chemise C'est un homme volubile, décrit procédurier, il consacre son temps à la constitution de dossiers, il se complaît dans les complications. En réponse de Mr CHAMBERT, Mon age ne me pose aucun problème, les lunettes facilitent la lecture attentive qu’il se doit à un tel rapport et me permettent d’y répondre avec précision au regard et avec tous justificatifs corroborant avec ce que j’affirme, volubile ce n’est pas l’avis de mes petits enfants, procédurier mes créanciers le sont en ce cas, être en opposition à l’encontre de dérives que je subis , pour ma part ,c’est faire face et assumer ses responsabilités au quotidien, quant à mon temps ! jusqu ‘au 11 août 2004, je n’avais aucun dossier à constituer et aucune dette , a présent je subis les complications et assume encore mes responsabilités, il est donc malvenue de m’en faire reproche. Mme TOURDIAS dit : Il verbalise que la justice est acquise à sa fille, il veut en apporter la preuve. En réponse de Mr CHAMBERT, Ce n’est plus un sentiment, c’est une certitude, les justificatifs ont été refusés lors des rencontres. Mme TOURDIAS dit : Le grand-père reconnaît avoir avec son fils cassé la porte du logement de Coralie à Font Romeu, ce qui a conduit à l'intervention des gendarmes. En réponse de Mr CHAMBERT, J’ai cassé la porte, mon fils m’accompagnait seulement, et j’ai demandai à ce que les gendarmes viennent constater l’état dans lequel se trouvait l’appartement de ma fille, ce qui a été fait, et n’a pas eu de conséquence à mon encontre, bien au contraire !. Mme TOURDIAS dit : Aujourd'hui le grand-père vit dans les procédures., il comptabilise une hypothétique rentrée d'argent liée au règlement du à son avantage des procédures qu'il a entreprises. En réponse de Mr CHAMBERT, Si l’on peut appeler cela vivre , comptabilisé et hypothétique, voilà bien la démonstration par ces termes employés, de ce que je dois, en déduire que les procédures dont j’ai été contraint de faire face, ne soient qu’illusoires ! Mme TOURDIAS dit : Le grand-père nous a adressé un courrier stipulant que par commodité, nous pourrions rencontrer le couple à Marseillan Plage dans la maison qui appartient à la grand-mère. Le grand-père revendique de voir les 2 petites filles Margot et Audrey, il s'interroge sur le comportement de sa fille, il évoque l'appartenance à une secte. En réponse de Mr CHAMBERT, Par commodité et économie de trajet pour l’enquêtrice, Mme Tourdias souhaitait voir le domicile de ST Bauzille de Montmel, nous y étions disposés, au 2ème rendez-vous, elle n’en voyait plus l’utilité de fait que l’on soit hébergé par notre fils. J’ai revendiqué de voir mes petits enfants, au pluriel et non une sélection, ce ne sont pas pour moi des objets que l’on choisi, ce sous-entendu n’a pas lieu d’être. Mme TOURDIAS dit : Le grand-père met en avant la maladie de sa femme et les conséquences dangereuses que peut avoir une expulsion de sa maison. En réponse de Mr CHAMBERT, Qui peut savoir jusqu’ou ? ira sa fille , celle-ci, au regard du constat d’huissier, en date du 11 août 2004, n’en demandait la libération des lieux qu’occupait seul son père, ce n’est quand l’assignation en référé qu’elle s’est subitement souvenue des engagements qu’elle avait pris envers sa mère, d’ou la demande d’expulsion devenue conjointe à ses deux parents, Coralie savait que sa mère vivait à sa maison de Marseillan Plage et avait fait son transfert d’adresse, elle était loin d’occuper les lieux de sa fille (sans droit ni titre ) comme il a été prétendu. Mme TOURDIAS dit : Le couple CHAMBERT vit actuellement à Marseillan Plage, le couple verbalise poursuivre les procédures persuadé d'obtenir satisfaction. En réponse de Mr CHAMBERT, J’ai indiqué une adresse par commodité pour les rencontres relatives à l’enquête, et moi seul revendique les procédures que je suis contraint de mener à l’encontre de mes débiteurs, il serait osé de prétendre être persuadé d’obtenir satisfaction. Mme TOURDIAS dit : S'il est vrai que le couple revendique un droit de visite sur leurs petites filles Margot et Audrey, lorsque a été évoqué l’hypothèse d'un droit de visite médiatisé, le couple a fait la réponse suivante : - si le véhicule tient - demande d'un siège pour la grand-mère. En réponse de Mr CHAMBERT, Pour rappel , le couple ne fait aucune sélection d’enfants , concernant le véhicule, j’ai indiqué à Mme Tourdias qu’il avait 217000 km, et je n’ai pas demandé de siège pour la grand mère, elle n’est en aucun cas infirme au point de la faire passer aux yeux des petits enfants pour une handicapée . MARGOT Est une adolescente aux cheveux longs avec des mèches, les yeux bleus, elle porte un tee-shirt marron, un Jean, des ballerines. Elle est décrite distraite, rêveuse. Elle obtient de bons résultats scolaire, à des amies, ses sorties sont celles des adolescents de son âge. AUDREY elle a des cheveux longs bruns, les yeux bleus, elle a la peau claire, un appareil dentaire. Elle porte un jean, un pul noir, un bracelet, des boucles d'oreilles, elle est d'apparence calme, posée, décrite sensible, elle joue du piano, aime la peinture. Elle obtient d'excellents résultats scolaires. EDITH Elle a les cheveux blonds longs attachés en queue de cheval, les yeux bleus, elle porte un Jean, un tee-shirt noir avec un dessin de chat. 20 AFFAIRE CHAMBERT / DÊMPSEY Est une petite fille câline, active, remuante, capable d'être calme à l'école, Elle parle de sa mamie montre les cadeaux. Elle ne connaît pas les grands-parents maternels, elle n'en parle pas. Mme TOURDIAS dit : Margot et Audrey sont des adolescentes équilibrées, qui réussissent leurs études ont des activités adaptées à leur âge, elles ne revendiquent pas de contact avec leurs grand - parents conscientes des problèmes financiers de leurs parents liés aux multiples procédures. Elles précisent : depuis 2004, ils n'ont pas chercher à entretenir des relations avec elles si ce n'est le calendrier envoyé en 2007: En réponse de Mr CHAMBERT, On ne peut que le comprendre si elles sont chargées de relever le courrier, de là a imaginer qu’elles pourraient le revendiquer ! trop de pression subsiste , leur précision ne fait que conforter nos craintes, nous avons adressé deux fax et deux LRAR auxquels nous avons eu trois LRAR en réponse des parents, pour ce qui est des demandes de photos et nouvelles de nos petits enfants « tous » plus les demandes effectuées auprès de nos avocats, nous n’avons a ce jour obtenu aucune indication de leur santé ,occupations, distractions ou photo , les cartes ou vœux , hormis le calendrier 2007, les parents on prétendus n’en n’avoir pas reçu et nous ont renvoyés vers les services postaux pour nous charger de s’en en inquiéter, il est donc normal qu’elles soient en droit de se poser des questions. Mme TOURDIAS dit : La relation Margot et Audrey avec leurs grands-parents paternels est affectueuse, elles expliquent ne pas avoir eu cette relation avec les grands-parents paternels. En réponse de Mr CHAMBERT, Je l’ai déjà évoqué, les enfants apparemment, sa ne se prêtent pas, ce n’est pas faute de le demander, elles n’ont pu bénéficier de leurs grands-parents, quand présence des leurs, ou lorsque notre fille ne pouvait faire autrement quant elle venait a Montpellier pour ses stages, il est évident que l’on ne peut nouer de lien d’affection quant se côtoyant, elles en ont été privé, ce dont notre fille ne peut dire des siens. Mme TOURDIAS dit : Monsieur DEMPSEY, le père I! est vêtu d'un Jean, d'un pull rayé bleu et noir, les cheveux châtain clair, les yeux bleu vert. Il est aimable., poli, calme attaché à sa famille : sa femme, ses enfants, il entretient des relations chaleureuses avec ses parents, ses soeurs. Il sait garder la mesure face aux événements, son souci préserver sa famille. En réponse de Mr CHAMBERT, Il ne m’apparaît pas utile de faire des commentaires, si ce n’est qu’il est le gendre et n’a pas su ou voulu résonner son épouse, l’objet de notre demande étant le bien être de nos petits enfants. Mme TOURDIAS dit : Madame DEMPSEY, la mère Est vêtue d'un caleçon noir à la mode, d'un haut violet, elle a les cheveux courts châtains foncés, les yeux bleus elle porte des lunettes. Elle est réservée. agréable, modérée dans ses propos face à la situation conflictuelle douloureuse. En réponse de Mr CHAMBERT, L’apparence est tout autre que ses courrier, la lecture attentive de l’entier dossier, aurait permis une tout autre appréciation, néanmoins il faut éprouver une douleur, qu’elle soit de « situation » ou « conflictuelle » pour agir comme elle l’a fait envers ses propres parents, l’objet de notre demande étant le bien être de nos petits enfants, il ni a pas lieu d’être plus explicite. Mme TOURDIAS dit : Elle déplore l'attitude de ses parents qui ont refusé toute solution amiable. En réponse de Mr CHAMBERT, Là encore , elle est l’instigatrice de la mesure, il ne peut y avoir de confusion dans l’attitude a déplorer, je lui avais même proposé de lui construire leur villa gratuitement y compris les matériaux, ils ont préféré un crédit, et pas des moindre, par un constructeur pour lequel je travaillais en sous-traitance, la solution était plus qu’amiable, elle était aimable et gratuite, ce en 2003, avant tous conflits. Mme TOURDIAS dit : Le logement du couple parental DEMPSEY est bien tenu, les parents équilibrent les repas, veillent à la scolarité des trois enfants. Le couple parental tient compte de l'âge des enfants, pour adapter les sorties. En réponse de Mr CHAMBERT, Ils viennent d’y aménager, il ne manquerait plus qu’il se trouve dans l’état de celui de Font-Romeu ! Mme TOURDIAS dit : Face à cette situation, il apparaît clairement que les enfants vivent dans un milieu familial conforme à leur bonne éducation. Leur réussie scolaire, 1e confirme-Le couple parental s'investit dans la prise en charge des trois enfants tant sur le plan : scolaire, extra scolaire, qu'affectif, il adopte une attitude éducative conforme aux principes moraux. En réponse de Mr CHAMBERT, Il apparaît , ce qui n’est en rien une certitude, la réussite scolaire !, si l’on s’en réfère à celle de notre fille qui est confirmée par son parcours, n’a pas suffit , pour être en conformité aux principes moraux de base, ce n’est donc en rien une science exacte. Mme TOURDIAS dit : La famille paternelle investie dans la vie des enfants du fait de l'éloignement a tenu à adresser des courriers. En réponse de Mr CHAMBERT, Je reste impatient d’avoir la copie des pièces , jointes au rapport y compris celles-ci, et celles correspondant aux déclarations des parties dans celui-ci. Mme TOURDIAS dit : Les adolescentes ont clairement exprimé en toute liberté leur refus de renouer une relation avec leurs grands-parents maternels. En réponse de Mr CHAMBERT, En sa mission, l’enquêtrice doit s’entretenir avec les enfants, hors la présence des parties, ce qui n’a pas été le cas, comme elle l’indique elle même, les enfants n’ont pu s’exprimer en toutes liberté avec la présence du père , et rien ne prouve que la mère n’y était pas, le samedi, le couple ne travaille pas. Mme TOURDIAS dit : Monsieur CHAMBERT, le frère de Madame DEMPSEY adopte une attitude de méfiance, il semble être sur la défensive, mal aise. En réponse de Mr CHAMBERT, Pour reprendre l’expression de l’enquêtrice, « Il sait garder la mesure face aux événements »il n’a pas prêté les clefs à sa sœur. Elle les avait quant ils sont allés voler en juillet 2004, les serrures ayant été changées immédiatement, ce n’est que lorsqu’ils sont revenus le 11 août 2004, pour faire effectuer constat de l’encombrement des lieux occupés gratuitement ( prêt à usage) par son père, lui seul, (dûment autorisé par écrit par sa fille), constatant que les clefs qu’ils détenaient n’ouvraient plus, ils ont cassés la porte d’entré de la maison , mis un tel désordre ,qui a été décrit par l’huissier à son arrivé. Cette enquête ,aura au moins pour mérite, permis de reconstituer les faits qu’ils ont jusqu'à présent tenter de nier. Mme TOURDIAS dit : Le logement des grands-parents paternels est un véritable bric brac. Les grands-parents ne sont pas actuellement en capacité de chercher une solution de médiation, leur attitude dénote d'un esprit revanchard. II est urgent de tes placer face à la réalité, une telle attitude compromet toute fiabilité. En réponse de Mr CHAMBERT, L’enquêtrice ayant pour mission de prendre connaissance de l’entier dossier, il est regrettable qu’elle n’ai pas su avoir plus de compassion au regard de l’état de santé de mon épouse , qui l’a reçoit, dans sa maison, 28 m2 au sol, « encombré » certes, mais propre, ou elle a pu constater qu’il n’y manquait rien, qui fasse obstacle à recevoir, lui ayant permis de fumer plusieurs cigarettes et supporter un interrogatoire de plus de deux heures sans se plaindre de fatigue, lors qu’elle a pour habitude de se reposer après manger, est pour le moins un manque de respect. Ceci dit, « prétendre qu’ils ne sont pas en capacité de chercher une solution de médiation, que leur attitude dénote d’un esprit revanchard, qu’il est urgent de les placer face à la réalité, qu’une telle attitude compromet toute fiabilité » Que devaient faire les époux Chambert, face aux plaintes, déposées par leur fille ? ( procureur de Narbonne pour harcèlement, bureau D.J de Beziers et Montpellier pour qu’il leur soit retiré l’A.J, La CAF de Montpellier, pour qu’il leur soit supprimé le RMI, 558,98€ pour le couple, auprès du Préfet de Montpellier, Gendarmerie de Port la Nouvelle , de ST, Mathieu de Tréviès , Dénonciation de saisie vente de la maison de sa mère, indisponibilité des véhicules, hypothèques judiciaires sur le bien propre à sa mère, pas moins de quatre, suite à expulsion, obligation d’aliments, saisie véhicule, donation ou obligation de faire et il faut s’attendre à ce que mon épouse en ait une pour le droit de visite des petits enfants…..ext. De quelle , capacité, solution, médiation, attitude, urgence, réalité qui pourrait compromettre une fiabilité, parle t’on ? de qui ? quel message veut on nous transmettre avec tant d’adjectifs ? nous les victimes !, transformés en agresseur !). Mme TOURDIAS dit : Les grands-parents revendiquent leur droit de visite, ils ne sont pas coopératifs, ils sont investis dans le conflit. Leur attitude ne milite pas en faveur de l'octroi d'un droit de visite. En réponse de Mr CHAMBERT, Dés l’assignation, j’ai écrit au juge de l’exécution et revendiqué, l’informant qu’il mettait fait interdiction de communiquer toutes pièces à ma fille, suite à sa plainte pour harcèlement, mes écritures ont été écartées, pour motif : ne pas avoir été transmises a la partie adverse ( ma fille), prétendre que nous sommes investis dans le conflit, est une boutade, nous le subissons et les petits enfants aussi malgré eux, il est grand temps qu’ils connaissent les véritables causes, il se pourrait qu’ils aient une tout autre opinion de leurs grands-parents maternels et ne s’interrogent pas sur une absence de démarches Mme TOURDIAS dit : Pour envisager une rencontre médiatisée qui ne déstabilise pas les adolescentes, il nous paraît indispensable que ce conflit soit réglé, En réponse de Mr CHAMBERT, En clair, elle nous demande de cesser toutes procédures en cours, que mon épouse vende sa maison pour payer les condamnations abusives dont elle est l’objet, pour marchander une hypothétique possibilité de rencontrer nos petits enfants, dans un lieu médiatisé qui est susceptible de ne pas les déstabiliser. Mme Tourdias, pense qu’il nous sera aisé , d’annoncer ce marchandage aux magistrats en charge des procédures en cours, je n’ose imaginer les réactions, sous couvert de l’intérêt principal de l’enfant. Je me permets de laisser l’initiative à quiconque, et d’en supporter les conséquences qui en découleront. : AFFAIRE CHAMBERT / DEMPSEY CONCUSION Mme TOURDIAS en conclu : Au terme de nos investigations face au conflit intergénérationnel d'origine financière, dans i'intérêt principal des enfants Margot et Audrey, il ne nous paraît pas d'actualité d organiser un droit de visite enfants / grands-parents Mr CHAMBERT : Des investigations menées, plutôt à charge, il ressort une agressivité basée sur des déclarations des époux Dempsey ne concordant pas avec les documents qui démontrent le contraire, et une impartialité peu respectée. Prétendre qu’il n’est pas d’actualité d’organiser un droit de visite enfants / grands-parents, ce sous couvert d’un intérêt principal ( bafoué au profit de celui d’origine financière dont seul les époux Dempsey sont responsables pour en être les initiateur) d’autant ne le souligner que pour les enfants Margot et Audrey, la petite dernière paraissant être un cas, dont il n’y a pas lieux de ce soucier est regrettable. Mme TOURDIAS en conclu : D'une part, les grands-parents ne paraissent pas en capacité de canaliser leurs griefs personnels à l'égard du couple parental DEMPSEY, cette situation est dommageable pour renouer des relations avec les enfants. Mr CHAMBERT : Que l’on ne paraît pas en capacité de canaliser un prétendu grief personnel à l’égard du couple parental Dempsey et que c’est le fait de cette situation « volontairement entretenue par ces derniers » qui serait d’après Mme Tourdias, dommageable pour renouer des relations avec les enfants ! Inutile d’en rappeler l’origine reconnue être initiée par notre fille, quels qu’en soient les motifs et raisons, ce n’est , certes pas de fait des grands-parents et encore moins des petits enfants (tous) , c’est les victimes « grands-parents et petits enfants les trois» qui devraient pâtir, des erreur comportementale des époux Dempsey, il y a sûrement confusion d’attribution des responsabilités. Mme TOURDIAS en conclu : D'autre, les enfants Margot et Audrey ne revendiquent pas actuellement de rencontrer leurs grands-parents. Mr CHAMBERT, Il est évident quand présence des parents, ils ont eu raisons, quoiqu’ils ont pu exprimer, soit il avec regret, l’absence d’intérêt à leur égards ,que semblerait avoir les grands-parents maternels, cette indication allant dans le sens de leur parents, me semble plutôt judicieuse de leur part afin de préserver leurs acquits, et je ne pouvais en attendre moins, mais comme le disait « ( Florent Pagny), vous n’aurez pas leur liberté de penser », et ça, j’en suis persuadé. Mme TOURDIAS en conclu : Pour notre part, il ne nous semble pas impossible de proposer que les grands-parents contactent leurs petites filles par mail. Mr CHAMBERT, Cinq Années d’attente, pour qu’il semble ne pas être impossible de proposer que nous puissions contacter nos petites filles, les trois bien évidemment, par mail, nous ravie d’avoir une photo d’Edith 5 ans, devant le pc, nous adressant un mail qu’elle vient d’éditer ,accompagné d’une pièce jointe, on n’ arrête pas le progrès et les enfants apprennent si vite . Mme TOURDIAS en conclu : De la capacité des grands-parents Monsieur et Madame CHAMBERT et des parents Monsieur et Madame DEMPSEY à trouver une solution amiable au conflit d'ordre financier dépend la reprise d'une relation familiale. Mr CHAMBERT, Que vienne à dépendre, la reprise d’une relation familiale , entre grands-parents et petits enfants, sous conditions ,et sous réserves, que les adultes, soient capables à trouver une solution amiable au conflit d’ordre financier, Je laisse le soin au magistrat l’appréciation de ces propos. Mme TOURDIAS en conclu : Si toutefois, un droit de visite devait être organisé, il ne pourrait s'exercer que dans un lieu médiatisé pour éviter de réactiver les tensions familiales et de placer les enfants Margot et Audrey en difficulté. Mr CHAMBERT, Et l’enquêtrice, d’en terminer « si toutefois », au cas ou l’on n’aurait compris les appréciations précédentes, à supposer qu’un droit de visite devait être organisé, dès lors il ne pourrait s’exercer que dans un lieu médiatisé sous prétexte d’éviter de réactiver les tensions familiales et de placer les enfants Margot et Audrey en difficulté, doit on en comprendre qu’il y ai eu des insinuations de danger pour les enfants ? quelles tensions familiales seraient susceptibles d’être réactivées ?au point qu’il failles les éviter ?, a ce que je sache, nous n’avons proférés aucune menace à l’encontre des enfants ! nous n’avons aucune tensions familiales avec les enfants ! en qu’elle circonstance on seraient à même de placer Margot et Audrey en difficulté ? et lesquelles ? en quoi et pour quelles raisons Edith, la petite dernière que nous ne connaissons pas serait elle privée de ses grands-parents ?, je laisse bien évidemment encore le soin au magistrat de nous éclairer au regard de ces appréciations scandaleuses. Afin qu’il ni existe de confusion avec mon fils ,comme a tenu à le préciser ma fille, page 16 du rapport, mes deux prénoms. Monsieur CHAMBERT GILLES PHILIPPE