11 juin 2012,
De Papi Gilles
Billet d’information relatif au droit de visite des Grands-Parents.
Bonjour ,
Quelques bonnes nouvelles …
Il y a quelques temps, en ce qui me concerne, j’avais demandé qu’il soit diligenté une enquête sociale pour permettre aux acteurs de la justice d’apprécier le bien fondé de ma demande pour obtenir des nouvelles et photos de mes petites filles, les parents s’y étant opposés avec fermeté, ( officiellement, une demande de droit de visite).
Le rapport d’enquête ?, bien qu’il n’en démontra les incohérences, mensonges et l’incompétence dont la responsabilité n’appartient qu’à son auteur, m’a permis de prendre connaissance de faits non avoués jusque là par les réticents.
De fait, je l’ai publié pour information et compassion du plus grand nombre dans cette situation, ce, accompagné de mes explications.
Bien que certains s’en soit offusqués de ma démarche, d’autres ont pu y découvrir au travers, l’indélicatesse et l’imprudence de l’auteur , d’avoir sans retenu, aucune, retranscrit les faits lui étant rapportés, améliorés au gré de son humeur, lors d’entretiens avec les intéressés.
Description peu louable des grands-parents ,celle trop avantageuse des parents et sans aucune précaution de discrétion à l’égard des enfants.
Le résultat fût à la hauteur de l’incompétence de l’auteur, les demandes et le montant des condamnations souhaité par les parents aussi.
J’ai donc , au regard de la santé de mon épouse, évoqué le besoin qu’elle se désiste, puisque elle s’était exprimée envers les enfants, au travers de ce rapport, de son ressentie, les laissant libres de la rencontrer s’ils le voulait, sa porte était ouverte…
Le jugement fût rendu, acceptant à l’encontre du refus des parents le désistement de la grand-mère.
De fait, moi, le grand-père « insolvable », n’apportant plus d’intérêts à la procédure hormis quelques condamnations , j’ai pris l’initiative de faire appel de cette décision qui m’écartait de toutes mes demandes.
Les dernières conclusions en appel des parents et de moi même, ont emmenées semble t’il le magistrat en charge devant la Cour d’Appel, à me faire communiquer par mon conseil, une demande , sous forme « d’attestation sur l’honneur » l’informant que j’atteste, moi le grand-père, que mes petits enfants sont en capacité de discernement pouvant permettre d’être entendus par un juge.
Devant telle situation inappropriée, après m’être entretenu avec mon conseil, j’indiquais à ce dernier qu’avant de prendre une décision ou de remplir ce document, j’aller appeler ma fille.
J’ai donc téléphoné à ma fille, à son travail car je n’ai pas son propre numéro personnel, et lui ai fait part de mon impossibilité d’évoquer un quelconque sentiment lié à l’état de capacité de ses filles, faute de ne plus les voir depuis août 2004, pour les deux plus grandes et ne connaissant pas la petite dernière née fin 2005.
Bien qu’étonné de l’appel de son père, auquel elle répondait, cet entretien de plus de deux heures et demie, nous aura permis ,selon son souhait, que j’appréciais ,soit dit en passant, je décidais de me désister pour lui montrer ma bonne foi, de l’appel en cours, dont le délibéré
est fixé au 27 juin 2012.
M’indiquant en raccrochant, que c’était « un premier pas » de fait, j’ai espoir en l’avenir, de meilleures relations entre nous, et surtout heureux qu’elle m’ai indiquée quelle ne s’oppose pas à ce que les petites entretiennent des relations avec leurs ascendants.
Il va de soit que je porterais à la connaissance du plus grand nombre dans telle situation, le résultat qu’il en sera de la décision rendue, j’ose même le souhaiter dans le seul intérêt des enfants.
Entre-temps , bon courage à tous et merci de m’avoir lu et soutenu, et je dirais « il n’y a pas de problèmes mais des solutions , en tant qu’époux, père et grand-père, je m’en suis fais un devoir de toujours les trouver.
Papi Gilles