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De Papi Gilles, 15 octobre 2010,

 LETTRE OUVERTE A MA FILLE

Coralie,

 Six longues années ont passées depuis ce 11 Août 2004, jour ou sans prévenir tu t’es rendue à ST. BAUZILLE de MONTMEL , non pour nous rendre visite ou pour permettre à tes enfants de rencontrer leurs grands-parents, mais pour pénétrer dans la maison que tu prêtais à ton père.

 Certes, bien que tu en étais propriétaire et sans en avoir les clefs, rien ne t ‘autorisais à y rentrer en cassant la porte d’entrée.

 Ma surprise fût grande et je m’en suis expliqué auprès de l’huissier que tu avais convié, sans mesure de justice, pour y faire constater l’encombrement des lieux par ton père.

 Malgré les autorisations écrites que tu m’avais faites, d’y demeurer et d’y entreposer mon matériel et documents courrant de la vie, tu as obtenue mon expulsion dont tu as pris soin en l’assignation que tu as fait délivrer, que cette mesure « d’expulsion » soit étendue à ta pauvre mère qui n’était en rien concernée .

 Enfin, si ce n’est le sous-seing privé qui vous liait , concernant tes engagements de donation envers elle pour apurer le soutien financier quelle t’avait apportée .

 Aujourd’hui encore, tu n’as de cesse de prétendre que tu m’avais avisé de tes intentions de vendre ta maison, ce qui d’après toi, justifierait que tu es été contrainte de jeter ton père à la rue.

 Pourtant en toutes ces procédures qui ont fait suite et nécessaires pour te contraindre à tenir au moins une fois tes engagements, tu n’as toujours pas produit devant la justice la moindre preuve de ce que tu affirmais, ce qui t’as permis néanmoins d’obtenir notre expulsion commune sans pour autant fournir de documents justifiant ces demandes.

 Tu affirmes encore et encore, en tes dernières conclusions concernant le droit de visite de mes petits enfants que j’ai du engagé pour avoir de leurs nouvelles ou une photo d’elles, les démarches que tu aurais faites auprès de ton père sans toujours n’en produire un moindre élément de preuve justifiant ton comportement.

 De plus, suite à mes publications, tu évoques que les propos de tes parents ne sont qu’un tissu de mensonges transpirant la haine et l’agressivité.

 Si toutefois ,il te reste un peu de raisonnement personnel ,divulguer les justificatifs de l’authenticité des propos que nous avons tenus, ne devrait poser aucun problème, afin que tout a chacun en découvre la réalité et soit libre de déposer un commentaire contraire s’il le souhaite.

Sachant à présent, que tu préfères me lire par le biais de mes blogs, dont tu as pris, j’espère plaisir à imprimer mes articles et ce moyen me convenant il te sera aisé d’y laisser un commentaire .

 Ton Papa